En Afrique, la situation de la maladie Mpox, continue d’attirer l’attention des autorités de santé publique et des organismes internationaux. Plusieurs pays du continent, notamment la République Démocratique du Congo, le Nigéria, et le Ghana, continuent de signaler des cas sporadiques de la maladie, bien que les taux d’infection semblent être en baisse par rapport aux pics observés dans les années précédentes.
Les autorités sanitaires africaines, en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (CDC Afrique), multiplient les efforts pour surveiller et contenir la propagation du virus. Ces efforts comprennent la formation des agents de santé, l’amélioration des capacités de dépistage, ainsi que la sensibilisation des communautés sur les pratiques de prévention.
La vaccination est également un outil clé dans la lutte contre Mpox. Plusieurs pays africains ont reçu des doses de vaccin via des partenariats internationaux pour protéger les populations les plus vulnérables, notamment les agents de santé et les personnes vivant dans des zones à haut risque.
Malgré ces efforts, les défis restent nombreux, en particulier dans les régions reculées où l’accès aux services de santé est limité. La collaboration internationale, la recherche de traitements efficaces, et la surveillance continue sont essentielles pour réduire l’impact de Mpox sur le continent africain et prévenir de futures épidémies.
Bien que la situation semble se stabiliser, une vigilance accrue et des interventions ciblées restent nécessaires pour contrôler l’épidémie de Mpox en Afrique.
AVEC NIKUZE NKUSI Diane
